DIY… un sigle qu’on voit de plus en plus mais qui n’est pourtant pas nouveau !

Le concept « Do It Yourself » apparaît dans des magazines destinés aux amateurs de bricolage, de radio, de menuiserie… au début du 20ème siècle.

Le sigle « DIY » quant à lui circule dans les années 1950 dans la presse américaine. 2 évolutions (commerciale et technologique) contribuent à rendre le « DIY » plus visible et accessible à l’échelle mondiale :

• A partir des années 1950-1960 : essor des magasins de bricolage tels que Home Dépot, Leroy Merlin, Bauhaus, Castorama, Hornbach, Brico…
• A partir des années 2000 : explosion du DIY sur internet (tutoriels sur YouTube, Pinterest, Instagram, Tik tok…) et les médias en général (émissions sur les thématiques du home staging, minimalisme, zéro déchet, fait maison).

Le DIY est devenu un véritable secteur économique ! Le marché mondial représentait 775,6 milliards USD en 2024, et devrait atteindre 805,8 milliards USD en 2025, avec une projection à plus de 1 094 milliards USD d’ici 2033. Il serait le plus dynamique en Amérique du Nord et connaitrait la plus forte croissance en Asie-Pacifique.

En Europe, un sondage révèle que la moitié des consommateurs déclarent pratiquer davantage le DIY parce qu’ils en apprécient le côté ludique, et un quart le trouvent plus économique que d’autres solutions. Plus de 33 % des Européens envisagent même d’augmenter leurs activités de bricolage. Cet enthousiasme est particulièrement marqué en France, Pologne, Allemagne, Suède, Pays Bas et UK.

1. Quels sont les projets DIY les plus fréquents ?

1.Bricolage DIY et rénovation légère

Montage de meubles, Décoration murale, Peinture, Carrelage, Parquets, Petites réparations (poignées, charnières, portes), Electricité basique (changements de luminaires, interrupteurs).

2. Décoration d'intérieur

Création d’objets déco (vases, guirlandes, bougies), Customisation de meubles (peintures, vernis), Création de cadres photos et tableaux, Plantes (décoration de pots, création de jardinières), Activités avec les enfants (bricolages faciles pour Halloween, boules de Noël, fête des mères).

3. Couture, mode et accessoires

Couture (vêtements, sacs, accessoires), Tricot / crochet, Retouches et nouvelle vie (ourlets, fermetures éclairs, boutons, vieux jeans et tee-shirts).

4. DIY cuisine / fait maison

Fait maison culinaire (pain, pâtes, conserves), Produits maison (cosmétiques, savons, bougies parfumées), Produits ménagers (lessives, nettoyants).

5. Jardinage et aménagement extérieur

Potagers (bacs, jardinières, composteurs), Décoration extérieure (lanternes, bancs, meubles), Projets écolos (nichoirs, hôtels à insectes).

6.  DIY technologique

Réparations électroniques, Mise en place de réseaux, Domotique, Objets connectés, Imprimantes, Ordinateurs.

2. Qui pratique le bricolage DIY ?

Majoritairement les hommes entre 35 et 54 ans, propriétaires d’un logement, bricoleurs réguliers, motivés par les économies pouvant être réalisées et le désir de créer / construire ... mais aussi de plus en plus de femmes, qui pratiquent le bricolage DIY comme loisir ou par nécessité !

Marc, 42 ans, connaît la notice de montage IKEA par cœur ! Il a commencé par monter une étagère il y a 10 ans, et depuis, rien ne l’arrête. Isolation du grenier ? Challenge accepté. Pose de carrelage imitation béton ciré ? Pourquoi pas. Il adore l’idée de faire "mieux que les pros", même si ça prend 10 fois plus de temps.

Son week-end DIY idéal ? Un café bien serré, sa playlist "DIY motivation" en fond, et une visseuse dans les mains. Il est abonné à tous les tutos YouTube qui commencent par “5 astuces que vous ignorez sur…” et ne jure que par le plaisir du “fait maison”.

Anna, 36 ans, c’est la MacGyver du minimalisme scandinave. Quand elle dit “je vais juste repeindre cette chaise”, c’est souvent le point de départ d’un relooking complet du salon. Pour elle, bricoler, c’est exprimer sa créativité, s’affranchir des standards, et affirmer son identité.

Anna adore l’idée de donner une seconde vie aux objets : une palette devient un canapé d’extérieur, un vieux tiroir devient une étagère murale. Elle jongle entre son ordinateur et sa perceuse, et sa communauté Insta suit chacune de ses métamorphoses déco. Bricoler, c’est un peu son yoga — sauf que ça sent la sciure.

Marc et Anna ne sont pas des professionnels, découvrent leurs outils et ne connaissent pas les consignes de sécurité. Dans ces conditions, ne prennent-t-ils pas des risques démesurés ?

3. Quelle est la fréquence des incidents en DIY ?

Selon une récente publication anglaise, plus des deux tiers des Britanniques ont été victimes d’un accident lié au DIY, allant du coup de marteau sur les doigts aux chocs de la tête contre les poutres. 12% ont consulté un médecin suite à leur blessure.

Les incidents les plus fréquents :

• Coupures/ lacérations, 25-30%
• Ecrasements / Contusions, 15%
• Chutes, Glissades sur sol mouillé, 15-20%
• Brûlures, Décharges électriques, 10%
• Blessures oculaires et inhalations de produits toxiques, 5%

4. Comment éviter les incidents pendant les projets DIY ?

Les plus souvent causés par des cutters, scies, perceuses, marteaux, escabeaux, échelles, tournevis, les incidents DIY peuvent être évités grâce à des précautions simples mais essentielles :

• Lire les notices des outils et regarder des tutoriels quand on manque d’expérience.
• Utiliser des équipements de protection tels que les gants, lunettes de protection, masques, casques ou chaussures de sécurité selon l’activité.
• Ne jamais sous-estimer les risques, même pour des tâches simples (ex. : ponçage, peinture, jardinage).
• Travailler dans un environnement sûr (propre, dégagé, lumineux).
• Eviter de bricoler seul si l’activité est risquée.
• Utiliser des outils en bon état.
• Couper le courant avant toute intervention électrique et utiliser un détecteur de tension avant de percer un mur.
• Ne jamais travailler en hauteur sans appui ni personne pour tenir l’échelle.

Pour résumer : PRÉPARATION, PROTECTION, PRUDENCE !

5. Oups, une blessure et un saignement… que faire ?

Marc et Anna ont fini par se rencontrer autour de leur passion DIY et maintenant ils bricolent à deux en amoureux ! Après avoir fixé de nouveaux tableaux sur ses murs, Anna veut maintenant changer l’éclairage de son salon. Alors qu’il lui tenait l’échelle pour qu’elle change l’ampoule d’un luminaire, Anna a brisé l’ampoule et s’est coupé le doigt.

Ils n’en sont pas à leur première coupure et savent exactement quoi faire ! Leur trousse à pharmacie est bien fournie en produits de première urgence.

Pour arrêter le saignement et favoriser la cicatrisation de la coupure d'Anna, Marc choisit Stop Hémo^® SPRAY.

Pratique et facile à utiliser : 

1. Il nettoie la plaie,
2. secoue le spray,
3. pulvérise la poudre sur la plaie,
4. et laisse agir !

La blessure d’Anna bénéficie ainsi des propriétés hémostatiques et cicatrisantes de l’alginate de calcium (issu d’algues marines) tout en étant protégée des agressions extérieures.

Ils peuvent ensuite reprendre leur activité sereinement !

Sources :

1- DIY and home improvement in Europe - Statistics & Facts, https://www.statista.com/topics/3900/diy-and-home-improvement-in-europe/ – consulté le 09/09/2025
2- Analyse de la taille et de la part du marché du bricolage – Tendances et prévisions de croissance (2024-2029), https://www.mordorintelligence.com/fr/industry-reports/diy-home-improvement-market – consulté le 10/09/2025
3- DIY SOS Over two-thirds of Brits have suffered a DIY-related accident from hammering fingers to banging heads on beams, The Sun – publié le 12/05/2025